En 2018, j’ai eu la chance d’être interviewé par Amélie Girard, journaliste de L’Ardennais et de L’Union, au sujet de mon métier de vidéaste de mariage. Elle revient sur les débuts de mon activité, sur mes inspirations et mes projets. L’article est désormais disponible en ligne sur le site de L’Ardennais/L’Union. La photo de l’article est signée Christophe Blaszkowski, photographe de mariage basé dans le Nord de la France.
Photo de Christophe Blaszkowski | photographe de mariage
IL PARCOURT L’EUROPE POUR FILMER LES MARIAGES DE SES CLIENTS
Louis-Nicolas Chosseler est vidéaste de mariage. Ses clients sont de plus en plus nombreux. Il filme des évènements dans toute la France et à l’étranger.
La saison des mariages n’a pas encore commencé que le planning pour l’année prochaine de Louis-Nicolas Chosseler est déjà presque plein. Sa spécialité : les films de mariage. Ce vidéaste professionnel s’est lancé dans cette activité un peu par hasard il y a cinq ans. Après avoir grandi à Vrigne-aux-Bois, il part à Paris pour suivre des études dans l’audiovisuel. Pendant trois ans, il étudie la réalisation et la production. “On touche un peu à tout pendant les études, on fait des pubs, des clips, des films, des reportages, du web”, détaille Louis-Nicolas Chosseler, 28 ans, aujourd’hui résidant dans les Ardennes.
Fort de ces expériences, il rentre dans les Ardennes et se lance dans les films de mariage. “Les boîtes de production dans les Ardennes, il n’y a pas grand-chose. Les films de mariages, c’est venu un peu par hasard, ça m’a plu et ça a marché”, explique le vidéaste. A tel point qu’à l’exception de quelques projets institutionnels isolés pendant l’hiver, il ne se consacre qu’aux films de mariage.
Pourtant la vidéo n’est pas forcément ce à quoi les futurs mariés pensent en premier lieu lors des préparatifs. Cette prestation s’est développée ces dernières années. “Je suis parfois obligé de refuser des propositions. Certaines personnes y pensent trop tard et je préfère la qualité à la quantité, confie-t-il. Si le tournage se déroule généralement sur une journée ou un weekend, le montage et la post-production lui demandent entre deux à quatre semaines de travail. “Je suis très exigeant, j’essaie de donner un style cinématographique et artistique en me servant des codes du cinéma. Je raconte une histoire avec le son et l’image”, décrit Louis-Nicolas Chosseler. Et son style plaît puisque ces dernières années, ses clients sont de plus en plus nombreux et viennent de toute la France et de pays voisins. Les mariages en Belgique, en Italie, au Luxembourg, en Allemagne, en Suisse ou au Royaume-Uni ne sont pas des exceptions. Quant aux lieux exceptionnels dans lesquels il a travaillé, il ne les compte plus mais retient le cadre “visuellement créatif du Château de Montaubois. J’ai aussi hâte de filmer un mariage qui va se dérouler cette année entièrement en extérieur dans la forêt en Suisse. Ce sera enrichissant”.
Article rédigé par Amélie Girard pour L’Ardennais et L’Union. L’article est disponible en ligne sur le site de l’Ardennais/L’Union : https://www.lardennais.fr/art/73792/article/2018-02-03/videos-un-ardennais-filme-les-mariages-dans-toute-l-europe.
Article paru dans l’Ardennais et L’Union
Louis-Nicolas Chosseler | Vidéaste de mariage | www.film-de-mariage.com