Quel est mon matériel de vidéaste de mariage ?

Mon expérience de vidéaste de mariage m’a permis de composer un setup adapté à ma manière de travailler sur le terrain, à mon workflow et au résultat audiovisuel que je souhaite créer. L’équipement que je présente est propre à mon activité et à ma vision de la réalisation de film de mariage. Il ne sera peut-être pas adapté à tout le monde. D’autant plus que le matériel ne fait pas tout… J’y vois plutôt un confort technique qui permet de s’alléger de certaines contraintes, afin de se concentrer pleinement sur la créativité, à l’esthétisme, à la narration… A la qualité de réalisation en général. J’ai travaillé sur un setup compact (tout doit rentrer dans un sac), puissant (sans compromis sur la qualité, l’efficacité) et sans superflu.

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CAMERA
Mes 2 caméras principales sont des boitiers sans miroir (mirrorless) plein format (full frame) : Panasonic Lumix S. Ce sont des boitiers redoutables, puissants, conçus pour la vidéo, mais aussi pour la photo. Ils offrent la possibilité de tourner en Full HD, 4K et 6K, à différentes fréquences (25fps, 50fps et 150 fps en PAL). Ils permettent de filmer en V-log et même d’accéder à un enregistrement interne 10 bits 4.2.2. Autant dire qu’ils en ont sous le capot ! Panasonic propose sans doute la meilleure stabilisation capteur pour ce type de boitier, le meilleur viseur OLED, ainsi qu’une ergonomie très bien pensée. Ce sont des boitiers fiables et robustes, ce qui permet de s’affranchir d’une cage (vive la liberté). Quant aux défauts, je peux en pointer 2 : l’autofocus en vidéo (je ne m’en sers pas) et le poids. En effet, des boitiers plein format aussi complets et solides, c’est lourd. Mais comme je n’utilise, ni cage, ni écran externe, le poids en main n’est finalement pas plus important qu’un Sony A7xxx accessoirisé. La gamme Lumix S est très forte, c’est clairement la plus adaptée à mon activité de vidéaste de mariage. J’ai également une 3ème caméra de secours : un ancien boitier Aps-c couplé à un objectif Sigma Art 18-35mm F1.8, dispo en cas de problème.

Références de mes boitiers : Panasonic Lumix S1 | Panasonic Lumix S1H

OBJECTIF
J’ai choisi 3 objectifs Sigma Art, les focales 20mm, 35mm et 135mm. Sigma Art est la seule marque à proposer un large choix d’optiques à focales fixes en monture L (merci à la « L-Mount Alliance »), lumineuses (F1.4 et F1.8), avec un autofocus (que je n’utilise qu’en photo), fiables, et d’une très bonne qualité optique. J’adore le 20mm F1.4 qui permet d’ouvrir grand les yeux. Je ne me sépare jamais du 35mm F1.4, c’est une valeur sûre, je pourrais shooter tout un mariage avec cette unique focale. Et j’aime le rendu cinématographique et le bokeh du 135mm F1.8. Ces 3 focales me permettent également d’obtenir des angles de champ plus serrés en modifiant la zone du capteur (Aps-c) : approximativement 30mm, 50mm et 200m. Cette astuce est plutôt pratique avec des focales fixes, notamment en mariage. J’ai dédié tout un article à mes objectifs Sigma Art : www.film-de-mariage.com/objectif-sigma-art-materiel-setup-videaste-mariage

Références de mes objectifs : 20mm Sigma Art F1.4 DG HSM | 35mm Sigma Art F1.4 DG HSM | 135m Sigma Art F1.8 DG HSM

materiel tournage videaste mariage - Panasonic Lumix S1 S1H - Objectif Sigma Art
Panasonic.com

LUMIÈRE
En mariage, je filme en lumière naturelle autant que possible ! C’est indispensable pour être cohérent avec ma démarche de capturer des images authentiques et esthétiques. Je n’aime pas les éclairages plats, je préfère 1000 fois les rayons du soleil à travers une fenêtre, la lumière d’une lampe de chevet, la couleur des vitraux, les illuminations du décor, les ombres, les éclats… Si je dois utiliser une lampe, c’est vraiment en cas de dernier recours. Lors de la soirée si l’ambiance est beaucoup trop sombre, ou bien à d’autres moments, par exemple pour déboucher délicatement des ombres trop dures, sans dénaturer l’ensemble de la lumière. Et pour ça, j’ai la meilleure petite torche LED de la marque Aputure : petite, solide, puissante, avec un faisceau de 120°. Puissance réglable, température de couleur réglable et rechargeable en USB, que demander de plus ? Elle peut être fixée sur une griffe, sur une cage, sur un pied, et sa forme rectangulaire permet de la poser un peu partout. Cet unique petit panneau LED de 8 cm me permet de gérer toutes les situations d’éclairage compliqué sur un mariage.

Référence de ma torche : Aputure Amaran AL-MX LED

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AUDIO
Pour commencer, j’ai équipé mes boitiers de microphones stéréo unidirectionnels Nikon, qui ne nécessitent pas de pile. Ils sont petits et efficaces, c’est tout ce que j’exige. Ils me permettent d’avoir un son témoin/d’ambiance de bonne qualité sur tous mes rushes. Quand j’ai besoin d’enregistrer une ambiance bien particulière, un bruitage, une voix… J’utilise mes enregistreurs : H1 et H4N. Compacts et très efficaces, ils offrent pas mal de possibilités d’enregistrements et de branchements. Je les utilise notamment pour enregistrer les discours et les cérémonies, en prise de son directe et/ou branché sur la sonorisation (câble Jack, RCA ou XLR). En enfin, la cerise sur le gâteau c’est l’Instamic, l’équivalent d’un micro cravate, mais sans récepteur et sans fil. Tout petit et léger, il s’accroche sûr un vêtement et l’enregistrement démarre avec une simple pression. C’est ultra pratique ! Ce setup audio m’apporte une matière sonore suffisante et de bonne qualité pour pouvoir travailler convenablement le montage son et le mixage. Le son est primordial dans mes réalisations, il apporte une dimension importante à l’histoire, à la narration et à mon style.

Références de mes micros/enregistreurs : Micro Nikon ME-1 | Zoom H4N Pro | Zoom H1 | Instamic Pro

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STABILISATION
Je ne vais pas passer par 4 chemins : je n’utilise pas de stabilisateur. Je réalise tous mes mouvements à main levée, ou éventuellement avec un monopode léger et maniable, en carbone, de la marque Benro. Pour les longs plans fixes (lors de cérémonie par exemple) ou pour ma seconde cadreuse, j’ai un monopode Sirui en carbone qui peut tenir tout seul verticalement. Et en cas de besoin (timelaps, 3ème cadreur…) j’ai toujours un trépied Benro classique sous la main. Les 3 sont équipés de la même rotule vidéo fluide. Si je n’utilise pas de gimbal, de slider, de steadi… c’est parce que j’arrive à faire sans, et surtout, je veux rester vif, réactif et libre de mes mouvements.

Références de mes monopodes : Benro Mach3 Carbone MMA28C | Sirui P-324SR Carbone
Référence de mon trépied : Benro Adventure Série 2
Référence de mes rotules : Benro rotule vidéo S2

DRONE
Côté plans aériens, pas d’originalité, c’est un Mavic Pro de la marque DJI. La gamme Mavic propose des drones petits, légers, pliables, assez fiables et plutôt discrets. Ils ont une bonne stabilisation d’image et permettent de filmer en FHD et 4K, 25fps et 50fps, en D-log. En général, je n’ai pas besoin de plus. Et dans le cas contraire, je délègue cette partie à un télé-pilote expert partenaire.

Référence de mon drone : DJI Mavic Pro Platinum

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ACCESSOIRES
Je ne vais pas m’éterniser sur les accessoires, mais ils sont nombreux ! Des cartes de stockage, SD, micro SD, XQD et de nombreuses batteries pour mes boitiers Panasonic Lumix S. Toutes sortes de câbles audio, Jack, RCA, XLR, ainsi que des adaptateurs et des câbles USB. Des bonnettes pour la prise de son. Des hélices de rechange pour le drone. Des attaches Peak Design. Une Gopro Hero 5 en cas de besoin. Des piles, un tournevis, une poire soufflante… Bref, tout ce qu’il faut pour pouvoir s’adapter et être autonome sur un mariage.

SAC
Et enfin, pour transporter facilement tout cet équipement, j’ai besoin d’un sac suffisamment grand, costaud et pratique. Il s’agit d’un sac à dos de 32 litres de la marque Tenba. J’ai eu du mal à le trouver celui-là… La plupart des sacs ne sont pas vraiment adaptés à mon utilisation. Inspiré de la fabrication des sacs militaires, il est ultra durable, confortable et très fonctionnel, sans superflu. Il a une forme rectangulaire, ce qui permet de le poser à plat ou debout, il a une ouverture dans le dos, sur le côté et sur le dessus. C’est le modèle Axis Tactical, qui existe en 20L, 24L et 32L.

Référence de mon sac à dos : Tenba Axis Tactical 32L

 

Rédigé par Louis-Nicolas Chosseler | Vidéaste de mariage | www.film-de-mariage.com



Vidéaste de mariage : mes objectifs Sigma Art

Je ne suis pas “le vidéaste” qui change son matériel tous les ans, ou à la sortie d’un nouveau modèle. Côté mode, j’observe les tendances mais je ne les suis pas forcément. Je me fie surtout à mon expérience, à mes vrais besoins de vidéaste de mariage, à ma manière de travailler sur le terrain et au résultat visuel que je souhaite façonner. Je fais donc un choix sur du “long terme”, qui correspond au maximum à ces critères.

Beaucoup de vidéastes de mariage choisissent de travailler avec des objectifs trans-standards (type zoom) comme le 24-70mm, ou bien des focales fixes courantes comme 35mm, 50mm et 85mm. Dans ma façon de travailler, j’exploite une plage bien plus large, du 20mm au 135mm. J’ai besoin de cette marge de manœuvre importante pour pouvoir laisser parler ma créativité et composer les images qui m’intéressent. Mais en tant que vidéaste de mariage, je dois être vif et toujours opérationnel pour être efficace. Je dois donc m’accommoder d’un setup global léger et maniable. J’ai trouvé le trio parfait : 20mm, 35mm et 135mm.

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Je ne travaille qu’avec des objectifs à focale fixe ! C’est un choix, et presque une évidence quand je liste mes critères de sélection. J’aime les objectifs « lumineux », qui ouvrent à 1.4 ou 1.8, je travaille souvent à pleine ouverture et quasiment tout le temps en lumière naturelle. Je recherche une certaine qualité optique et de fabrication. Et enfin, je n’ai pas besoin de stabilisation optique, puisque mes boîtiers (Panasonic Lumix S) assurent une excellente stabilité au niveau du capteur.

J’ai également une préférence pour les objectifs à monture native, ce qui permet de me passer de bagues adaptatrices (encombrantes, moins fiables et poids supplémentaire…). Pour mes boîtiers Panasonic Lumix S, il s’agit donc de la monture L (initialement Leica). La gamme Lumix S est sortie en 2019, et même si les marques Leica, Sigma et Panasonic, se sont associés pour former la « L-Mount Alliance », il faut un certain temps pour développement un véritable parc d’objectifs. La marque Sigma a tout de même su être réactive en adaptant rapidement sa gamme Art en monture L. Ce sont les objectifs que j’ai choisis. Dans cette gamme Art, Sigma réunit toutes mes exigences, en terme de qualité optique, de solidité, de fiabilité, une grande ouverture, un auto focus et un large choix de focales. Certes, ce sont des objectifs qui, à la base, ont été conçus pour la photo. Mais ce n’est pas spécialement un inconvénient, au contraire, c’est une question de goût et d’habitude. Le seul bémol que je peux relever, c’est le poids. Une telle qualité optique et de fabrication implique naturellement un poids important. Je reviens sur cet aspect dans un autre article, où j’explique comment j’assure tout un mariage avec un ensemble boitier-objectif plutôt lourd.

L’atout que l’on peut exploiter en vidéo, sans réduire la qualité d’image et la résolution finale, c’est réduire la zone du capteur (notamment en Aps-c et « pixel par pixel »). Le but est de pouvoir obtenir un cadre plus serré avec un même objectif, une même focale. Ce n’est qu’une équivalence en terme d’angle de champ, pas en terme d’optique. De cette manière, un objectif 20mm peut également offrir l’angle de champ d’un 30mm, un 35mm l’angle de champs d’un 50mm environ, et un 135mm l’angle de champ d’un 200mm environ. Les possibilités en terme de cadrage deviennent énormes, avec uniquement 3 objectifs choisis stratégiquement. Même si je privilégie sans hésiter l’utilisation des focales en plein format (24x36mm), c’est une astuce qui peut s’avérer très utile sur le terrain, notamment lors d’un mariage.

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Concrètement, voici mon feedback sur mes trois objectifs Sigma Art :

Le 20 mm (Sigma Art F1.4 DG HSM) est tout simplement impressionnant ! Peu de déformation pour un très grand-angle et très peu d’aberrations chromatiques. Oui, il est plutôt lourd pour un 20 mm, mais il est très efficace. Beaucoup de vidéastes de mariage n’osent pas s’aventurer en dessous du 24mm. En ce qui me concerne, c’est tout le contraire. C’est justement un regard, une vision, qui m’inspire beaucoup. C’est mon objectif « in situ ».

Le 35 mm (Sigma Art F1.4 DG HSM), c’est ma valeur sûre. Je pourrais couvrir tout un mariage avec cet objectif, en plein format (full frame). Surtout que ce 35 mm Art de chez Sigma n’a plus rien à prouver, il a d’ailleurs été récompensé aux « Tipa Awards ». Il est excellent en vidéo, mais aussi en photo bien évidemment. Il est incontournable. C’est mon objectif « tout terrain ».

Le 135 mm (Sigma Art F1.8 DG HSM) est une longue focale exceptionnelle. Optiquement, c’est un objectif tout aussi impressionnant que le 20 mm. Il est lourd, mais il permet de produire des images pleines de légèreté. J’adore l’utiliser pour filmer les visages, les expressions, les regards, les détails, mais aussi pour capter la lumière. Il apporte un côté cinématographique que j’aime beaucoup et qui participe à la construction de mon style. Sans parler du bokeh à pleine ouverture. C’est mon objectif « sweetness ».

 

Rédigé par Louis-Nicolas Chosseler | Vidéaste de mariage | www.film-de-mariage.com



Article de presse dans L’Ardennais et L’Union

En 2018, j’ai eu la chance d’être interviewé par Amélie Girard, journaliste de L’Ardennais et de L’Union, au sujet de mon métier de vidéaste de mariage. Elle revient sur les débuts de mon activité, sur mes inspirations et mes projets. L’article est désormais disponible en ligne sur le site de L’Ardennais/L’Union. La photo de l’article est signée Christophe Blaszkowski, photographe de mariage basé dans le Nord de la France.

Vidéaste de mariage basé en Champagne, réalisateur de films de mariage en Europe.Photo de Christophe Blaszkowski | photographe de mariage

IL PARCOURT L’EUROPE POUR FILMER LES MARIAGES DE SES CLIENTS
Louis-Nicolas Chosseler est vidéaste de mariage. Ses clients sont de plus en plus nombreux. Il filme des évènements dans toute la France et à l’étranger.

La saison des mariages n’a pas encore commencé que le planning pour l’année prochaine de Louis-Nicolas Chosseler est déjà presque plein. Sa spécialité : les films de mariage. Ce vidéaste professionnel s’est lancé dans cette activité un peu par hasard il y a cinq ans. Après avoir grandi à Vrigne-aux-Bois, il part à Paris pour suivre des études dans l’audiovisuel. Pendant trois ans, il étudie la réalisation et la production. “On touche un peu à tout pendant les études, on fait des pubs, des clips, des films, des reportages, du web”, détaille Louis-Nicolas Chosseler, 28 ans, aujourd’hui résidant dans les Ardennes.

Fort de ces expériences, il rentre dans les Ardennes et se lance dans les films de mariage. “Les boîtes de production dans les Ardennes, il n’y a pas grand-chose. Les films de mariages, c’est venu un peu par hasard, ça m’a plu et ça a marché”, explique le vidéaste. A tel point qu’à l’exception de quelques projets institutionnels isolés pendant l’hiver, il ne se consacre qu’aux films de mariage.

Pourtant la vidéo n’est pas forcément ce à quoi les futurs mariés pensent en premier lieu lors des préparatifs. Cette prestation s’est développée ces dernières années. “Je suis parfois obligé de refuser des propositions. Certaines personnes y pensent trop tard et je préfère la qualité à la quantité, confie-t-il. Si le tournage se déroule généralement sur une journée ou un weekend, le montage et la post-production lui demandent entre deux à quatre semaines de travail. “Je suis très exigeant, j’essaie de donner un style cinématographique et artistique en me servant des codes du cinéma. Je raconte une histoire avec le son et l’image”, décrit Louis-Nicolas Chosseler. Et son style plaît puisque ces dernières années, ses clients sont de plus en plus nombreux et viennent de toute la France et de pays voisins. Les mariages en Belgique, en Italie, au Luxembourg, en Allemagne, en Suisse ou au Royaume-Uni ne sont pas des exceptions. Quant aux lieux exceptionnels dans lesquels il a travaillé, il ne les compte plus mais retient le cadre “visuellement créatif du Château de Montaubois. J’ai aussi hâte de filmer un mariage qui va se dérouler cette année entièrement en extérieur dans la forêt en Suisse. Ce sera enrichissant”.

Article rédigé par Amélie Girard pour L’Ardennais et L’Union. L’article est disponible en ligne sur le site de l’Ardennais/L’Union : https://www.lardennais.fr/art/73792/article/2018-02-03/videos-un-ardennais-filme-les-mariages-dans-toute-l-europe.

Article de journal sur mon métier de vidéaste de mariageArticle paru dans l’Ardennais et L’Union

Louis-Nicolas Chosseler | Vidéaste de mariage | www.film-de-mariage.com



Interview vidéaste de mariage pour “ProntoPro.fr”

Dans le cadre de mon activité de vidéaste de mariage indépendant, j’ai été interviewé par Denise Pion pour le blog du site ProntoPro.fr : https://www.prontopro.fr/marne/reims/photographe-de-mariage

Spécialiste mariage - vidéaste de mariage - article -blog - contenu mariageLouis-Nicolas Chosseler | Vidéaste de mariage

RÉSUMÉ DE L’INTERVIEW
Sur Prontopro.fr

J’ai eu la chance de pouvoir m’exprimer sur divers aspects de mon activité de vidéaste spécialisé dans le secteur du mariage. Notamment sur la façon dont je suis arrivé à faire ce métier, l’histoire de mon entreprise et son évolution. Je parle également de ce que j’aime dans cette aventure et de ce qui me motive jour après jour. Et enfin, je fais un point sur ma manière de travailler, sur ma vision du film de mariage et sur mon style narratif et visuel.

Pour lire l’article en entier : https://www.prontopro.fr/marne/reims/photographe-de-mariage

 

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